n° 878 10e Bataillon de Chars de Combat
1ère Compagnie de Marche
Char sans tourelle, sans armement ni lunette (saufs 75)
Fait partie d'un groupe de 8 chars évacués en juin 1940 et dissimulés dans une carrière murée des Baux de Provence.
Découvert suite à une dénonciation, les chars sont récupérés par la Commission d'Armistice italienne et transférés en Italie
n° 751 10e Bataillon de Chars de Combat
1ère Compagnie de Marche
Char sans tourelle, sans armement ni lunette (saufs 75)
Fait partie d'un groupe de 8 chars évacués en juin 1940 et dissimulés dans une carrière murée des Baux de Provence.
Découvert suite à une dénonciation, les chars sont récupérés par la Commission d'Armistice italienne et transférés en Italie
n° 750 10e Bataillon de Chars de Combat
1ère Compagnie de Marche
Char sans tourelle, sans armement ni lunette (saufs 75)
Fait partie d'un groupe de 8 chars évacués en juin 1940 et dissimulés dans une carrière murée des Baux de Provence.
Découvert suite à une dénonciation, les chars sont récupérés par la Commission d'Armistice italienne et transférés en Italie
n° 859 Détachement de Beaulieu
Char sans tourelle, sans armement ni lunette (saufs 75)
Fait partie d'un groupe de 8 chars pris en compte le 12 juin, à Versailles par le chef de bataillon de Beaulieu qui a reçu l'ordre d'évacuer sur Gien par la route les chars B1bis en état de rouler, mais non complètement terminés.
Le départ a eu lieu le 13 juin, étape à Gironville (Seine et Oise).
Le 14 juin, étape de Gironville à Gien et ordre de poursuivre au sud de la Loire, au sud-ouest d’Argent.
Le 17 juin, étape d’Argent au Bois de Cerbois, au sud du Cher.
Le 18 juin, étape de Cerbois au bois sud de Niherne au nord de l'étang de Grandeffe, à 8 km environ à l'ouest de châteauroux.
Le 19, étape au sud de la Creuse, dans la région indiquée par le commandant de l’E.R.G.M. à l'ouest d'Argenton au bois des Ris, près de la Romagère.
Le 20, étape du Bois des Ris, à 6 km au nord de Le Dorat, domaine de la Brunetterie.
Pendant ses déplacements, le détachement n'a pas été repéré et n'a pas eu à souffrir des bombardements de l'aviation qui ont eu lieu à proximité ou sur les points de passage obligés.
Le matériel, manquant de lots de bord, était mal entretenu et souffrait de ces longues marches, ce qui a décidé le chef de détachement à demander à la 7e armée, le transport par voie ferrée.
Pendant ses déplacements, le 4e B.C.C. s'est occupé de l'approvisionnement et des ravitaillements du détachement. À signaler, l’allant du personnel tant du dépôt 511 que du 4e B.C.C. qui en petit nombre a dû fournir un gros effort pour accomplir ces étapes successives.
Le lieutenant Couvreur, du dépôt 503, adjoint au commandant de Beaulieu depuis Versailles, s'est particulièrement occupé des chars B et a été un précieux auxiliaire pour le chef de détachement.
Le 21 juin, le détachement a été embarqué à Le Dorat en deux trains et acheminé par Périgueux et Auch, sur Tarbes où il a débarqué le 24 dans la soirée.
Le 859 a été entreposé à l'AMX à Albi.
n° 749 Détachement de Beaulieu
Char sans tourelle, sans armes (sauf 75) sans lunette de visée avec une mitrailleuse en vrac, non montée.
Fait partie d'un groupe de 8 chars pris en compte le 12 juin, à Versailles par le chef de bataillon de Beaulieu qui a reçu l'ordre d'évacuer sur Gien par la route les chars B1bis en état de rouler, mais non complètement terminés.
Le départ a eu lieu le 13 juin, étape à Gironville (Seine et Oise).
Le 14 juin, étape de Gironville à Gien et ordre de poursuivre au sud de la Loire, au sud-ouest d’Argent.
Le 17 juin, étape d’Argent au Bois de Cerbois, au sud du Cher.
Le 18 juin, étape de Cerbois au bois sud de Niherne au nord de l'étang de Grandeffe, à 8 km environ à l'ouest de châteauroux.
Le 19, étape au sud de la Creuse, dans la région indiquée par le commandant de l’E.R.G.M. à l'ouest d'Argenton au bois des Ris, près de la Romagère.
Le 20, étape du Bois des Ris, à 6 km au nord de Le Dorat, domaine de la Brunetterie.
Pendant ses déplacements, le détachement n'a pas été repéré et n'a pas eu à souffrir des bombardements de l'aviation qui ont eu lieu à proximité ou sur les points de passage obligés.
Le matériel, manquant de lots de bord, était mal entretenu et souffrait de ces longues marches, ce qui a décidé le chef de détachement à demander à la 7e armée, le transport par voie ferrée.
Pendant ses déplacements, le 4e B.C.C. s'est occupé de l'approvisionnement et des ravitaillements du détachement. À signaler, l’allant du personnel tant du dépôt 511 que du 4e B.C.C. qui en petit nombre a dû fournir un gros effort pour accomplir ces étapes successives.
Le lieutenant Couvreur, du dépôt 503, adjoint au commandant de Beaulieu depuis Versailles, s'est particulièrement occupé des chars B et a été un précieux auxiliaire pour le chef de détachement.
Le 21 juin, le détachement a été embarqué à Le Dorat en deux trains et acheminé par Périgueux et Auch, sur Tarbes où il a débarqué le 24 dans la soirée.
Le 749 a été entreposé à l'Arsenal de Tarbes.